Il y a à peine quelques mois, me voir entrer dans une boutique avec un chapeau pour me protéger du soleil, mes lunettes qui deviennent foncées au soleil et mon masque anti-pandémique le commerçant aurait clairement appelé la police. Aujourd’hui, c’est une autre histoire, je me protège du cancer de la peau, je limite les risques de cataracte, de dégénérescence maculaire, de cancer de l’œil et je lutte contre la deuxième vague de COVID-19.
Ne pas rester anonyme
espace
Il est vrai que dans un milieu de soins le port du masque et d’autres vêtements et équipements de sécurité est habituel, voire souhaitable! Par contre, qui est cette personne qui vient prodiguer des soins? Est-ce la même qu’hier? Est-ce qu’elle sourit? Même entre collègues de travail est-il facile de se reconnaître?
Porter sa photo, pourquoi pas!
Espace
Une idée toute simple, mais très intéressante a été appliquée au Centre Universitaire de Santé McGill. Porter sa photo par-dessus «sa tenue de combat». Nous vous invitons à écouter cette entrevue qui a été réalisée sur les ondes de Radio-Canada de Madame Caroline Coutu, infirmière clinicienne aux soins intensifs du CUSM. Pour écouter cette entrevue.espace
Alors que le masque devient obligatoire le 18 juillet, pourquoi ne pas aussi porter sa photo? Une photo souriante qui nous rappellera que chaque personne est unique!
